
Suite à une chute du nombre de donneurs d'organes en Belgique (265 en 2008, soit le nombre le plus bas depuis 2006), Paul Schotsmans, professeur d'éthique médicale à la K.U. Leuven, propose de réfléchir à de nouvelles formes de transplantation d'organes, notamment en étendant les critères de mortalité dans le cadre du don d'organes.
Source : La Libre du 12/03/2009