Selon le Docteur André Devos, environ 30% des adolescentes ont été vaccinées contre le HPV (Human papilloma virus, intervenant dans les cancers du col de l'utérus). Les autorités souhaitent relancer une campagne de vaccination dès le mois de septembre dans les écoles primaires ainsi que dans le premier degré du secondaire.
Néanmoins, de nombreuses critiques s'élèvent dans les milieux scientifiques notamment en ce qui concerne l'efficacité du vaccin, mais aussi la gravité des effets secondaires possibles sans mentionner le coût très élevé de ces campagnes, alors que le dépistage par simple frottis est efficace et aisé. De nombreux médecins craignent également que le vaccin ait un effet pervers car il ferait croire erronément aux femmes qu'elles ne doivent plus effectuer de frottis et que des cancers pourraient être découverts très tardivement.
C'est pourquoi le Docteur Devos lance un appel aux parents et associations de parents afin de s'élever contre la vaccination automatique de leurs adolescentes à l'école. Selon lui, les jeunes filles n'ont pas à être des cobayes. De plus, et il est avéré que ce vaccin est en lien avec des dizaines de cas de décès ainsi que des centaines de cas d'effets secondaires importants, notamment des maladies auto-immunes.
Rappelons également que le Haut conseil de la santé publique en Belgique avait exigé qu'un contrôle de la vaccination ainsi que de ses effets secondaires soit instauré, ce qui n'a pas été fait à ce jour.
Source: IEB