Vie Féminine et le GAMP (Groupe d'action qui dénonce le manque de places pour personnes handicapées de grande dépendance), réclament trois types de places : celles de jour et d'hébergement pour les personnes handicapées mais également celles dites de répit pour les proches des personnes handicapées. Pour l'heure, selon les responsables de Vie féminine, un moratoire existe au niveau de la Wallonie, qui empêche de nouvelles places de se créer malgré des besoins importants. La prise en charge des personnes handicapées doit devenir une responsabilité collective de la société, a affirmé Hafida Bachir, présidente de Vie féminine.
Source : Le Vif, le 05/05/ 2013