Trois jours après la fécondation in vitro d'ovules provenant de femmes qui présentent des affections génitales pouvant mener au cancer (neurofibromatose de type 1 ou maladie de Von Hippel-Landau), des chercheurs de l'hôpital universitaire de Louvain (UZ Leuven) ont pu déterminer par des tests génétiques si certains des embryons ont un risque de développer le syndrome du cancer à l'âge adulte. Seuls les embryons ne présentant pas cette affection génitale ont été replacés dans l'utérus
Source : La Libre du 12/03/2009